Xara Akalia [validé]

Fiche Personnage

Nom : Xara

Prénom : Arkalia

Age : 18 ans

Don particulier : peut contrôler l’air (ou du moins essaie)

Premiers signe : ce fut avec sa première famille d’accueil, à 15 ans, son « père » avait essayé d’abuser de lui mais s’était retrouvé propulsé contre le mur par une violente bourrasque d’une force incroyable.

Physique : C’est un jeune garçon quelque peu menu et à la silhouette gracile toujours vêtus de noir. Ses cheveux mi-long et bleu foncé encadrent son joli minois de gothique, lui donne un air innocent, que ses yeux impénétrables nient. En clair c'est un androgyne par son visage efféminé de surcroit.

Psychologie: il est par moment renfermé et sombre, et d’autre fois totalement excité et joyeux, comme s'il essayait de vaincre les ténèbres qui réside en lui. On pourrait comprendre cette double personnalité à cause de son passé. Il n’a pas l’habitude de s’attacher à des gens, à cause de ses trop fréquents voyages, d’une famille d’accueil à une autre, ou peut-être ne lui a-t-on jamais laissé l’occasion de le faire. Ce qui fait qu'à présent ne lui reste plus que peu de vraix sentiments humains, et regarde les autres d'un oeil intéressé mais non pas comme on regarde un égal, mais plutôt comme un objet. Vous pouvez etre sûr que lorsqu'il vous rencontre, sa premiere pensée est : "Pourrais-je me servir de lui plus tard?" Vous n'etes pour lui que des pions !

Ce qu'il aime : lire, écrire et dessiner font partie des choses normale qu’il aime, et parler avec son élément fait partie des choses hors du commun.

Ce qu’il déteste : courir (donc il fait appel à son pouvoir qui le transporte d’un endroit à l’autre quand il veut bien), les personnes qui se permettent de le juger.

Situation familial : Il n’y a aucune situation familiale pour ce jeune homme pour la bonne raison qu’il n’y a tout simplement pas de famille. La seule situation s’en approchant est les nombreuses fois où il a dormis sous le même toit que des étrangers se proclamant sa nouvelle famille et lui imposant des lois à tenir. C'est le genre de situation qui vous agace très vite et qui vous pousse à vous en débarrasser, d'une manière ou d'une autre. C'est ainsi qu'il se retrouva promené d'une famille d'accueil à une autre. Ils finissent toujours par craquer devant l'attitude du garçon et le renvoier au final. Non, il n’a jamais eu de famille, n’en as pas et n’en auras sûrement jamais.

Histoire : Son enfance s’est déroulée normalement, c’est-à-dire avec un père, une mère, de l’amour et un toit, enfin au début, du moins. Car un soir, le soir de ses 5 ans, tout bascula. Il ne se souvint que de cris confus « Ils nous ont retrouvés ! Emmène-le loin d’ici ! »,de noir et de fuite éperdus. Ses souvenirs d’une enfance heureuse s’arrêtent là. Ne vient ensuite que tristesse, dureté, et solitude dans un sordide orphelinat jusqu’à l’âge de 15 ans. Puis sa première famille d’accueil, sa première agression au plus profond de lui, et enfin la découverte de son pouvoir.
« Quel horreur ! Sale pd ! Tu fais partie d’eux, tu es comme eux, sale monstre ! » Voilà les paroles que son « père » du moment lui as lancé à la figure, auquel il as répondu avec tout autant de violence :
_De quoi tu parles, sale pervers ! C’est toi le monstre dans l’histoire ! N’inverses pas les rôles !
_Sors de cette maison tout de suite, je ne veux plus t’y voir ! Rejoins les tiens dans cette affreuse école !
_Mais t’as pété un plomb !! Prends tes médocs, ça va calmer non seulement ta tête mais aussi la chose entre tes jambes, sale fils de pute !
Depuis ce jour, il ne cessa de chercher cette école pour deux raisons : savoir qui était ses « semblables » et pourquoi ils horrifiait tant le violeur qui l’avait viré.
Trois ans passèrent, il s'était affirmée avec le temps, s'est trouvée, et connaissait ses priorités. Quiconque s'opposait à lui en était châtié, de maniere discrete.
Ce fut lors d’une fugue qu’il découvrit l’école. Il ne la connaissait pas, ne l’avait jamais vu, mais il savait que c’était elle. Prenant son courage à deux mains, il s’y dirigea, décidé à s’y faire une place, coûte que coûte.