Jeff Arley [validé]

Invité

Nom : Arley // Typiquement amérloc'

Prénom : Jeffrey // Dites Jeff

Age : 17 ans // "On est pas sérieux quand on a 17 ans"

Don particulier : Capable de créer de la glace, du froid, et de le contrôler du moment que ça ne va pas trop loin de lui. // Pourtant, je suis chaleureux

Premiers signe : Une rose glacée de 12 ans

Je dessinai. Tranquillement, dans un ruelle. Bah oui, les crises d'adolescence ça poussent souvent à la fugue, et donc à la cachette. Donc dans mon coin, assis derrière une poubelle, en face de moi, sur mes genoux, mon carnet a dessin. Et là, soudainement, deux mecs arrivèrent. Lorsqu'ils m'aperçurent, un énorme sourire pervers au lèvres. Ils n'avaient pas de bonnes intentions, et cela fut vite révélé par le premier homme. Baraqué, il me souleva d'une main. Lentement, il approcha ses lèvres des miennes, et il le regretta. Je ne sais comment, mais lorsqu'il entra en contact avec moi, il refroidit. Apeuré, il me rejeta brutalement au sol, et lançait des regards suppliants à son camarade. Ses lèvres étaient bleuies par le froid, sa peau pale. Pas besoin d'en ajouter, mis à part que les deux me fuirent comme la peste...

Physique : Beau? A vous de voir...

Je suis un jeune de 17 ans, en pleine forme. Je mesure 1m79 pour 56 kilos. Mes cheveux sont blonds platines, et laissent apparaitre des reflets d'or, chaleureux au soleil. Mes yeux sont souvent qualifiés de dorés, même si théoriquement c'est impossible. Une couleur plus scientifique serait le noisette pale. J'aime beaucoup porter des chemises, blanches en particulier. Le bas est généralement un simple jean. Même si j'apprécie quelques pantalons plus larges.

Psychologie : Taré, Sympa, Comique, Compatissant, Romantique

Je suis compliqué à comprendre. J'aime bien dessiner, et je fais ça très bien. J'aime écrire de la même manière. Je ne suis pas un artiste, je suis un rêveur. Et mes rêves retombent dans mes créations. Et je suis très sociable. J'aime beaucoup faire de nouvelles rencontres. Je suis également de ceux qui stressent pour un rien, et je n'aime pas provoquer de la tristesse chez les autres. Voir les gens se morfondent, ça me rend tout aussi triste. Je suis plutôt calme, assez dur à mettre sur les nerfs. J'aime beaucoup rire, et en général je le montre. Si les gens ne m'aiment pas, tant pis, moi tant qu'ils ne font rien, je les considère comme sympa. Il reste tout de même des moyens de m'énerver. Détruire une de mes créas, ou bien se montrer trop hautain à mon gout... J'aime la vie; et je profite un maximum de l'instant présent. Que peut on dire d'autre... Ah oui, comme pas mal de stressé de la vie, je suis timide. Au début, parce que si vous devenez mon ami, je suis beaucoup plus ouvert. Et pis très attachant d'après mes connaissances. Perso, je pense faire pot de colle certaine fois. La chose qui me caractérise le plus, c'est surtout ma voix souvent douce, et mon sourire quasi omniprésent. Aucun soucis au niveau des études, mais pas tête d'ampoule pour autant! Les cours sont... ennuyants, mais utiles. Oh et je suis très romantique. Yep, j'aime tout ce qui tourne dans ce registre. Par contre, aller plus loin que des baisers, ça me fait peur, je dois l'avouer. Tout comme les relations à longs termes.

Ce qu’il aime : Presque tout !

J'aime Dessiner, écrire, la nature, les animaux, la joie, l'humour. J'ai un attirance pour les loups, les renards, et quelques félins, sans oublier les milans royaux. J'aime bien la glace, le dessert comme l'élément que la nature m'a attribué. Tout ce qui se mange au niveau friandises et pâtisserie. Le mieux, c'est que je ne gagne pas un kilo. Et j'aime bien consoler les gens aussi. Et j'aime être avec les gens. En gros, j'aime presque tout !

Ce qu’il déteste : Presque rien !

J'ai horreur du vert cacadoie, des gens arrogants et prétentieux voire hautains. Des gens pas serviables, des tapettes, des fils à mamans aussi. Conclusion: Y'a pas grand chose que je n'aime pas. Même s'il faut avouer que les prétentieux ont le don de me taper sur les nerfs! Comment peut on traiter les autres d'inférieur...

Situation familial : Famille? Et bien...

Pas super originale. J'ai deux parent, normal quoi. Un père acteur américain, une mère manager japonaise. Quoi de mieux? Il voulait un enfant unique, et bien ils ont des jumeaux. Donc forcément, ils avaient beau pester contre le destin, il ne reprit pas leur deuxième fils. Favoritisme à l'horizon. Et bien oui. Une chance sur deux? Jeff fut le détesté. Son frangin l'aimait bien, mais pas ses parents. Jeff dut donc apprendre à vivre de lui même très tôt. Faire la cuisine, trouver de l'argent, tout ça, c'était lui tout seul. Même si ses parents étaient très riches. Mis à part le fait qu'ils lui envoient régulièrement de grosses sommes d'argents, Jeff n'a pas de vrai lien avec ses parents. Surtout que ces derniers sont légèrement homophobes sur les bords.

Histoire : Je suis un adepte du pas trop long, ne vous attendez pas à trop de détails

Je suis né à Seattle. Enfin, nous sommes nés à Seattle. Moi et mon frangin, Jordan. Tout petits, on s'entendait super bien nous deux, malgré l'insistance de nos parents pour nous séparer. La préférence pour Jordan se marqua très rapidement. Étant de nature passive, je n'ai pas vraiment réagit. Jordan, au contraire lui était plus... instinctif? Enfin, le fait était là, Jordan montrait explicitement qu'il souhaitait rester avec moi. Et moi, trop peureux, la seule chose que je trouvait à dire à mon age, c'était "C'est pas grave. Occupe toi de toi". Tss, je regrette encore. A l'adolescence, je faisais de nombreuses fugues. Mon père étant sujet des paparazzis, mes fuites étaient régulièrement camouflées derrière des voyages à l'étranger. Il m'en arrivait des aventures dehors. Comme vous avez pu le voir plus haut d'ailleurs. A chaque fois, je dessinais. Et je revenais à la maison, aux grand déplaisir de mes parents, uniquement pour offrir ces dessins à mon frangin. C'est d'ailleurs pendant une fugue que je découvrit mon pouvoir. Je le cacha, à tout le monde. Même Jordan, qui savait tout sur moi, ne le sut jamais. Vers mes 15 ans, je me suis rendu compte de mon attirance pour les mecs. Big troubles! Une excellente raison pour mes parents de me rejeter. Finissant par l'apprendre, ils décidèrent de m'envoyer dans un autre pays pour faire mes études, dans un lycée zarb, où ils espéraient me voir mourir. Le jour de mon départ, je m'en souviendrait toujours. Oui, c'est le seul jour ou je n'ai pu réconforter mon frérot, ne sachant pas quoi faire d'autre que lui sourire. Ses mots qui me trainent encore dans la tête lorsque je pense trop, ou que je suis pris d'une vague de mélancolie...

- Pourquoi a-t-il fallu que nous soyons jumeaux..?

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