Moriané Biasian [validé]

Fiche Personnage


Nom : Biasian


Prénom : Moriané


Age : 17, il va sur ses 18 ans.


Don particulier (1 seul pouvoir) : Il manipule l’air.


Premier signe : A 1 an, il a voulu un biberon qui était en dehors de sa porté. Il l’a juste fait volé par l’air, en l’enveloppant d’un courant froid de vent.


Physique (décrire votre personnage en fonction de votre avatar en 2 lignes) : Il est de style androgyne sans vraiment l’être. Disons que ses muscles se voient sous sa peau douce et pale. Son visage est relativement angélique, et vu ses cheveux mi long blanc, ce n’est pas étonnant. Pourtant, il porte une marque au dessus du sourcil droit qu’il s’est fait faire pendant son adolescence. Son regard est jaune et pénétrant. Il est rare qu’on supporte lorsqu’il regarde les gens dans les yeux. Il a une cicatrice lui barrant le nez, et une autre sous l’œil droit, vestige d’une battue mais passons.
Niveau vêtement, il aime le rouge, le noir et le bleu. En général, il porte des pantalons taille basse et des haut assez originaux montrant son humeur du jour.
Niveau piercing, il en a un sur la langue, 3 à l’oreille droite, un à l’arcade sourcilière gauche, un au nombril et un autre au niveau de son sexe. Oui il est très piercing. Il a également un tatouage. Un moitié de dragon entouré par de l’air qui semble tendre la patte vers quelque chose. Ce tatouage se trouve au creux de ses reins. Et si on lui demande, il vous dira que le tatouage n’est pas complet. Allez savoir pourquoi.


Psychologie (comment pense votre personnage en 4 ligne) : Je suis un être à double tranchant. Je suis devant vous tous, un chieur, un clown, une personne ouverte au monde. Je eut être sadique, faire en sorte de vous mettre plus bas que terre si j’estime que vous devez y être selon votre place. Je suis quelqu’un de souriant mais en coin, quelqu’un dont le regard vide, ne reflète que votre reflet. Je suis indomptable et ce depuis toujours.
Pourtant, je suis un être responsable, j’aime ma famille par dessus tout. Je connais les difficulté que la vie peut engendrer. Je me fiche pourtant de vous du moment que vous n’attaquiez pas ceux que j’aime.
Niveau amitié, je suis plus ou moins abordable. Si vous avez de l’humour et un esprit ouvert. Si vous arrivez à ne pas prendre la mouche grâce à mes pics, alors oui peut être qu’on pourrait être amis.
Pour l’Amour, je suis vierge, et je me fiche du sexe pour le sexe. Si vous souhaitez mes fesses, ce n’est pas la peine et passé votre chemin.


Ce qu’il aime : Il aime la bonne musique, se foutre de la gueule des gens sans franchement penser à mal, faire la fête, aider sa famille du mieux qu’il peut. Il est difficile, là encore, de savoir ce qu’il aime. Car il ne dit jamais « j’aime » etc etc. Il est très, trop ? secret là encore. Peut être que vous le découvrirez s’il vous laisse pénétrer le monde qu’il s’est créer au fur et à mesure du temps.


Ce qu’il déteste : C’est difficile à dire, il ne montre pas vraiment ce qu’il déteste, et le garde pour lui. Il est du genre à prendre sur lui pour un peu tout. Et bien qu’il parait chieur, voir sadique quand il s’y met, il ne montrera que rarement ce qu’il pense vraiment des choses. Voilà pourquoi, il n’est pas réellement faisable de décrire ce qu’il n’apprécie pas. Peut être qu’on fasse du mal à sa famille. Oui sans aucun doute, il déteste cela.


Situation familial (5 lignes) : Moriané, a perdu son père, vu qu’il l’a tué lui même pour des raisons qui lui sont propres. Il a sa mère qui est un élémental de la terre, et un frère qui vient à l’école avec lui. Lui, à le don de manipuler le feu. Il faut dire que depuis peu, il a un nouveau beau père, qu’il nomme papa. Il faut avouer, que celui prend grand soin de lui, comme de sa mère et de son frère. Rien de bien palpitant en somme. Si ce n’est qu’il a envi de plus, ou de moins, bien qu’il ne le montre pas. Et alors ? C’est son problème. Faire 5 lignes pour une situation familiale limite chaotique, du moins c’est ce qu’il pensait, et ce par sa faute, toujours ce qu’il pense bien sur, c’est difficile à faire. Bien, qu’il se considère un peu comme le papa de son frère, et qu’il use encore et toujours de lui, en prenant sur lui, pour aider sa famille. Seule véritable chose qui compte à ses yeux d’ailleurs.


Histoire (10 lignes) : Je suis né d’une union entre une femme et un homme. Je sait que je pourrais conté d’avantage, mais je sais par avance que mon frère le fera pour moi. Alors je ne vais pas en dire plus ou moins. Disons que se répéter ce n’est pas une chose que j’apprécie. Oui, je l’ai dit et alors ? Bref. Donc, je suis né d’une mère ayant un don spécial, et d’un homme plutôt aristocrate. Je passe sur l’accouchement et compagnie. J’ai pas que çà à faire pour ma part. ^^ Donc je suis né, oui je me répète je sais. Et une année c’est passé on ne peut plus correctement. Un père et une mère aimants leur enfant rien de bien choquant. Ma mère est même tombé à nouveau enceinte à ce moment là. Comme quoi.. Bref c’était la joie.

Jusqu’à ce que je gâche le tout. En gros à 1 an, j’étais déjà turbulent, assez mh… chieur. J’était sur ma chaise haute ce jour là. On dit qu’à cet age on ne peut se souvenir des choses, mais je m’en souviens parfaitement. J’ai simplement voulu plus de lait, plus de biberon. Et celui-ci était déjà prêt sur la table à deux mettre de moi. Mon père était là. Je babillait que je voulais le biberon mais rien à faire. Alors quoi de mieux que d’aller directement le chercher. Comment ? Et bien en faisant instinctivement voler l’objet de mes convoitise en l’entourant d’air. Et cela à bien marcher bien sur. Je l’ai récupéré, fier de moi. Avant de voir mon paternel biologique, les yeux exorbités en me fixant. Il a chopé ma mère et lui a asséné une bonne claque. Pour lui avoir menti. Menti, sur le faite qu’elle ne cachait pas son don, sans le crier sur les toits. Et oui par ma faute, tout a changé. Je vous passe les détails.

Mon frère est né entre temps. Je l’ai aimé directement. J’étais fier de l’avoir comme petit frère. Je savais déjà que je voulais le protéger. Il était si petit, si adorable… Et dans ses yeux, il avait une chose que j’appréciait déjà Une sorte de flamme brûlant au fond du regard. Et vu ce qu’il c’est passé par après j’avais raison non ? Bref, vous ne le savez pas encore alors continuons. Je me suis occupé de lui, malgré mon age, lui apportant les biberons, l’amusant, lui souriant, le gardant dans un cocon que je confectionnais pour lui, pour nous. Puisque je voyais déjà que ma mère avait changé, que la tristesse emmenait d’elle. Mon père, enfin mon biologique, m’ignorait mais cela m’allait. Je gardait mon frère farouchement. Et je pense qu’il avait peur, peur de moi vu qu’à 1 ans je savait déjà faire volé des choses par l’air… Et sans doute avait-il raison. Parce que… Mais ce n’est pas le moment.

Plus tard, j’avais 7 ans, mon frère, ma mère et moi étions dans le jardin. Ma mère nous faisait les cours depuis toujours. Et ce jour là, on avait le droit à un petit cours de biologie à domicile. Tout ce faisait à Domicile de toute façon… Mais ce n’était pas grave. Elle avait montré à mon frère comment une fleur faisait quand elle éclosait. Mais mon biologique était là, et l’a vu utilisé son pouvoir. Il l’a frappé. Et bien que c’était habituel, mon frère ne l’a pas supporté, et a tout brûlé. C’était assez impressionnant. Et je crois que l’autre en a eu peur.

Par là suite, rien de bien notable, le collège, puis le lycée. Quelque dispute, bagarre pour mon frère que je réglais mine de rien. Et pour ma part, je faisait le clown de service, peut être pour échapper à quelque chose, je n’y ait jamais réfléchi vraiment mais passons. J’avais pas mal d’heure de colle pour entraînement à un délire en plein cours. Mais le pire, était le désespoir que j’offrais à mes professeurs, car j’avais toujours d’excellentes notes malgré tout… Comme quoi.

Mais tout à changé, un jour, lorsque je suis rentré chez moi, plus tôt que mon frère. Le professeur que j’avais cet après midi là n’était pas là. Et je m’en réjouissais. Pourtant, lorsque j’ai passé le pas de la porte. Mon biologique qui m’ignorait jusque là, m’a demandé avec véhémence pour ne pas dire d’avantage de faire le ménage. Et pour une fois, je ne voulais pas l’écouter. Je voulais simplement lui montrer que j’étais différent mais grand, que ce n’était pas un mal… Il m’a frappé en réponse Et m’a choppé le bras pour aller dans la chambre de ma mère. Je n’ai rien à ajouter de plus, si ce n’est que j’ai tué mon biologique avant d’hurler lorsque je me suis rendu compte de la chose. Mon frère était arrivé et c’est occupé de tout. Je n’ais rien eu. Mais j’ai encore gâché une chose, du moins je le pense.

Ma mère ne m’en a pas voulu. Mais vu qu’elle n’était pas sur le testament du biologique, nous avons du déménager dans un appartement. Elle a reprit son travail. Et nous a parler de cette école. Entre temps, elle a rencontré un homme bien que j’appelle papa. Mais aujourd’hui, je me doit d’aller dans cette école. Heureusement, je ne suis pas seul. Mon frère m’accompagne.