+Shikkoku Kyomu+ [validé]

Nom : Shikkoku

Prénom : Kyomu

Age : 20 ans

Don particulier (1 seul pouvoir) : Télékinésie

Premiers signe : C'était arrivé un jour comme les autres. Dans la salle de classe, il se concentrait sur un cours incompréhensible et il souhaitais vraiment pouvoir arrêter la craie du professeur. Il souhaitais pouvoir avoir la craie et la réduire en bouillie, comme cela il pourrait rattraper son retard lattant au sujet de la leçon. Alors aussi vite qu'une balle lancé la craie avait sauté des doigts du professeurs et était partie loin de lui. Il y avait même eu des hurlement de la part de Bonnie Pink, la cruche de la classe. La craie c'était écrasée en mille morceaux... sur le bureau de Kyomu.

Physique:

Il serrait dure de décrire en peu de ligne le physique de Kyomu. Nombreuses jeunes femmes vous dirait qu'il a un physique assez avenant et ce ne serait que peu mentir.
Assez grand, pour pouvoir entrer à l'équipe de basket, la peau très légèrement rossée et basanée, et la taille assez fine. Un visage plutôt carré, avec des pommettes forte. Il a les yeux améthystes, légèrement bridés sur les côtés avec beaucoup plus d'apparences européennes, dont les reflets argenté presque métallisés joue des saveurs presque improbables. Quelques mèches de ces cheveux couleur du bronze en fusion viennent chatouillé son nez droit et masque parfois son regard. Ils sont assez long et tombe en vaguelette jusqu'à la pointe de ses hanches. Ses lèvre sont bien en chair sans être pour le moins pulpeuses et elles ont la teintes rosé du matin, lorsque le soleil se lève ; à l'aurore.

Pour ce qui est de son style vestimentaire, il est plutôt sombre, avec beaucoup de cuir. Ce n'est pas qu'une question de paraître rebelle, c'est plutôt plus qu'un soucis d'esthétique, un soucis de confort et de bien être. Bien qu'il soit toujours habillé avec le soin qu'il porte à toutes choses.
Évidemment il aime aussi tout les bijoux d'étain et de fer. Comme ces deux chaines à son cou qu'il ne quitte jamais quel qu'en soit le motif.



Psychologie:

On ne pouvait prétendre connaître Kyomu mais si l'on été son plus proche ami. Rare furent les personnes de son temps et d'après qui purent se dirent vraiment au courant de qui il était. Il se compte sur les doigts d'un mains tellement il sont peu nombreux et pourquoi d'une seule. Au temps où il vivait encore avec eux; Kyomu reçut son éducation douce par sa mère et une éducation beaucoup plus stricte et douloureuse par son père. Loin d'en faire un martyre cela fut seulement source de torture adolescente. Tiraillé entre ce que lui disait l'un de ses parents et l'autre il ne savait où avancer. Plutôt que de se contredire ou de paraître déplacé, Kyomu préféra être de ceux qui ne parlait que lorsqu'ils étaient interroger ou lorsqu'ils le jugeaient bon. Cela le fit passer pour quelqu'un de sombre et renfermé ce qu'il n'était absolument pas. L'esprit de famille et de confiance furent inculpé chez lui très tôt ce qui développa en son subconscient un être de possessivité par trop dure et de respect des paroles. Il préfère analyser une situation calmement plutôt que de se jeter tête baissé dans le mur. Ce fut cela qui l'aida à réussir dans sa scolarité jusqu'à sa mort, et non pas une intelligence sur-développé quelconque. Kyomu était autrefois d'un bon coeur qui l'empêchait d'analyser les gens dans leurs entiers. Avec le temps il regarda plus froidement et laissa couler les défauts des gens sur lui

Ce qu’il aime : Les coins calmes et sombres où il peux se laisser aller à une sombres tranquillité, Les gens honnêtes et la lecture.

Ce qu’il déteste : Les complications et ceux qui trahissent leurs convictions et leurs paroles.

Situation familial: Avant tout il suffit de savoir que Kyomu n'est pas le seul de sa famille et que ces parents ne le préférait nullement un l'un de ses autres frères et soeurs. Il en résultat donc une distance, que chacun des enfants Shikkoku avaient, envers leurs parents. Il n'y a donc presque rien à dire de ce côté là. Chacun des membres de la familles sont séparé par leurs différences de perception de la vie. Entre leur père traditionaliste et sévère et leur mère douces mais peu moderne, les enfants ne peuvent s'attacher à rien. Ils sont, dès qu'ils ont atteins l'âge de raison, laissé à la dérive. Et puis la famille étant nombreuse un de moins... ou un de plus, Quel différence ?

Histoire:

Ce jour là, est un jour sans histoire comme tant de jour, mais c'est aussi celui de la naissance de Kyomu Nathaniel Shikkoku. Le garçon né comme ses 4 ainés garçons et trois ainé fille, dans la demeure familiale. La vieille sage-femme usée par le travail de servantes parvint avec peine à sortir l'enfant. Au fond d'elle elle pense que ce sera le dernier de cette famille qu'elle aidera à mettre au monde et que dès que ce serait finit elle partirait à la retraite bien mérité moyennant une petite compensation fiscale. Le garçon pousse un seul crie à sa naissance et il se tait fermant ses yeux qu'on à pu à peine voir. On le lave et le met dans les bras de la mère émus. Ses autres enfants viennent admiré le petit garçons et s'en retourne à leurs occupation. Le père ne prends même pas la peine de venir, il sait que l'enfant n'est pas de lui... comme tout les autres. Le père de l'enfant, Kyomu ne sera jamais qui il est. Un inconnu de plus sur terre et dans l'esprit de la mère. Pendant ce temps là, la sage-femme va dans le bureau du père et celui-ci l'abandonne à sa pauvre retraite moyennant une petite compensation en nature. Elle repart quelques minutes plus tard les joues rosit et sa paye dans la main. Elle jette un dernier regard au pièces et part loin. C'est la fin de cette journée qui marque le début de l'histoire de Kyomu.

Les années d'enfance furent tel que le sont toutes celle des autres. En fit rien ne le différencier de ses frères et soeurs. Il assista lui aussi à des naissances d'enfants tous différents les uns des autres. IL apprit à marcher et à parler très tôt comme les autres. Vécut des joies et des peines rythmer par les courants opposés de ses parents. La seul différence avec tout le monde c'est que Kyomu aimait vraiment la vie. I; l'aimait à un point qu'il ne cessait de s'étonner pour des choses banals, tel le levé du soleil au dessus des collines, la mer qui ondule et le vent qui souffle dans les branches. Il aimait aussi les gens ce qui en fit un des frères qu'on embêtait le moins. Bien qu'il du subir la tyrannie des plus vieux et la souffrance des petits qui ne cesse jamais de grandir en faisant les pires expériences... comme nous tous. Lorsqu'il atteint l'âge du collège, on l'y envoya dans un privé comme tous ces aînés et il n'en sortirait que lorsqu'il aurait atteins sa majorité. C'est son père qui lui annonça avec un air détaché de ce qu'il disait, à son côté sa femme pleurait comme à chaque départ. Elle avait nullement l'air pitoyable mais cela brisa le petit Kyomu de l'époque.

Le collège se révéla une expérience traumatique pour le garçon, il apprit fondamentalement à changer de vision et elle se fit plus dure presque intraitable. Lorsqu'il se voyait dans un miroir il croyait y voir son père en plus jeune, mais comment ce voir dans un homme à qui on ne ressemble nullement ? Ces cheveux roux ne faisait que lui prouver. Cependant cette impression persista longtemps. Oh ! Il ne fut pas solitaire, il eut beaucoup d'amis, quelques rencontre anodine et pleins de penchants coupables. Son premier ami et qui le resta bien longtemps fut l'européen Mcvries. Un grand garçon au teint clair et cheveux couleurs paille au soleil. Il était toujours de bonne humeur plaisantant à tout et de bonne nature. Rien n'aurait pu le distinguer des autre mise à part ses crises. Elles faisait de lui un monstre. Mais tous lui passaient cela en souvenir de son histoire qui lui valut une belle cicatrice dans le dos. Pour lui Kyomu ressentit ses premiers plaisirs coupables et il apprit bien plus tard de la bouche même de son ami qu'il n'était pas le seul à ressentir cela.

Puis le temps fila comme il à toujours coutume de le faire depuis qu'il c'est lancé dans sa course folle où personne ne peut le battre. La mort de Mcvries avait transformé Kyomu. Comment ? Pourquoi ? Les questions ne trouvèrent pas de réponse dans l'homme insaisissable qu'était à présent Kyomu. Il était et pas plus. Les gens s'écartèrent de lui tandis que son être hurlait encore et encore. Il sortit de l'école avec quelques chose de nouveau en lui. Le petit truc qui le rendait encore plus exclu du monde qu'il ne se l'était fait à lui même. Il ne se sentait pas coupable de ce petit truc mais ça le rongeait comme la mort de l'autre. Cela le rongeait tant et tant qu'il n'eut pour lui jamais plus de nuit tranquille. Seulement les cries et la sueur dans le lit. Perdu dans cette folle vie, Kyomu après avoir quitté le collège s'en alla. Il ne rentra pas à la demeure familiale. Qui aurait-il trouvé ? Il partit répondre à un appel qui pourrait le sortir de là et surtout lui faire comprendre. Comprendre quoi ? Mais ce petit truc voyons ! Et qu'est-ce ? Morbleu il s'agit du DON !

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